Les violences qui ont poussé quelque 700.000 Rohingyas à fuir la Birmanie sont “inexcusables”, a affirmé le vice-président américain Mike Pence à la dirigeante birmane Aung San Suu Kyi en marge d’un sommet à Singapour mercredi.
Mike Pence, s’exprimant devant des journalistes, a condamné les “violences et les persécutions” dont sont victimes les membres de cette minorité musulmane en Birmanie. Il a dit à Aung San Suu Kyi qu’il était “impatient de connaître les progrès” faits pour que les responsable de ces crimes répondent de leurs actes.